Jean-Noël Mathonnet : qui suis-je ?

Jean-Noël Mathonnet, consultant Web

Fondateur de ce site Web et de cette plateforme e-learning, ainsi que le formateur principal pour les sujets Web, WordPress et conseils en freelancing.

Point clés :

  • Entrepreneur depuis 20 ans
  • Diplôme universitaire en développement spécialisé pour Internet
  • A formé des développeurs et ingénieurs logiciels
  • Conseille des freelances et agences digitales
  • Travaille à l’international avec plus de 10 pays
  • Mix des 2 approches, académique et pratique

Sommaire

Introduction

Nous sommes dans une ère où la frontière entre pro et perso est floue sur le Web, des entrepreneurs traditionnels copient les méthodes des influenceurs, il faut apporter de « l’entertainment » à la place de la connaissance, se montrer partout dans des vidéos au rythme frénétique … À l’opposé de la tendance actuelle, je crois à une séparation entre la vie personnelle et professionnelle, et vous ne me trouverez pas (encore) en train de faire le clown sur YouTube pour vous divertir ou étaler ma vie sur mon compte pro sur Instagram pour vous faire rêver. Même si ça ferait quelques vues et ventes en plus. Je trouve qu’il y a un manque de pudeur et de discrétion dans tout ça. Les gens font ce qu’ils veulent : je choisis de ne pas le faire. Ce n’est pas que je ne suis pas marrant – peut-être arriverais-je à divertir certaines personnes si j’essayais, ni que ma vie ne fasse pas rêver – elle pourrait être mise en scène comme les autres pour ce faire. Mais ce n’est pas le but de ce site. Je veux ici transmettre du mieux possible le fruit d’une expérience unique de deux décennies dans le digital, et c’est tout. Toutefois, je comprends qu’on aime avoir des informations sur une personne avant de lui faire confiance : voici donc un « qui suis-je » qui reprend les faits importants qui concernent mon parcours professionnel dans le digital.

Cursus : diplômé en développement logiciel, major de promo

Après des études supérieures en analyse de base de données et programmation en 2001 (Merise, Access, C++, ASP, CGI), j’ai poursuivi un cursus universitaire en 2005 spécialisé dans le développement Web intitulé « Conception et Maintenance de Systèmes Internet/Intranet » (Java OOP, architectures de données, gestion de projet, services et applications serveurs) dans lequel j’ai terminé major de promo.

J’ai aussi obtenu des modules en programmation orientée objet (Java) et en analyse de bases de données (méthode Merise) au Conservatoire National des Arts et Métiers (niveau bac+3).

J’étais alors destiné à travailler par exemple sur des logiciels pour des banques.

Du logiciel au digital

Nous étions aux tout débuts d’Internet, et j’ai choisi de m’orienter vers la branche digitale plutôt que purement logicielle.

A l’époque, les agences de communication ont commencé à produire des sites Internet pour leurs clients : j’ai créé ma propre entreprise en 2007 et ai travaillé en collaboration avec ces agences qui me sous-traitaient la partie Web.

Des projets full code from scratch

Les premières années de ma carrière professionnelle, j’ai codé tous les projets depuis zéro, quelques uns en ASP, puis les suivants en PHP qui a pris d’assaut le Web à l’époque.

Je m’occupais de la modélisation des besoins en bases de données relationnelles, de la conception et du développement d’un backoffice sur mesure pour chaque projet, et de l’intégration en front des maquettes graphiques réalisées par les graphistes.

Les sites se structuraient alors avec des tableaux <table>, et la compatibilité avec le navigateur Internet Explorer 6 triplait le temps nécessaire à la réalisation des projets.

Puis vint la révolution des <div>, puis la sémantique XHTML. Je m’étais spécialisé en balisage sémantique et en accessibilité pendant un temps.

Enseignant à l’université

En même temps, j’ai été choisi pour enseigner le développement Web à l’université de Reims Champagne auprès de licences et de master en tant qu’intervenant professionnel de 2006 à 2009 : équipe pédagogique, définition des programmes, jury, CM, TP, TD. J’enseignais la techno du Web de l’époque, qui était : HTML, CSS, Javascript, PHP, MySQL, et prodiguait également des conseils pour l’organisation des projets, l’architecture logicielle.

L’arrivée des CMS

Alors que je réalisais depuis zéro ces projets complets avec base de données + dév backoffice + intégration front pendant des années, les CMS ont commencé à apparaître dans l’industrie. Les CMS proposaient la base de code que je reprenais depuis zéro à chaque projet, et étaient créés et suivis par des équipes complètes : mieux que ce que je pourrais jamais faire seul ! Après quelques projets avec les CMS Joomla, Magento et Drupal, je me suis spécialisé dans le CMS SPIP, qui était le leader en France à l’époque.

Des années de projets variés et sérieux

J’ai alors réalisé des dizaines, puis quelques centaines de sites Web avec SPIP. C’était un plaisir de ne plus avoir besoin de tout recoder depuis zéro chaque fois. J’ajoutais du code sur mesure selon les projets.

J’ai par exemple réalisé des projets pour :
– des administrations, mairies, régions, offices de tourisme,  hommes politiques, ministères
– des associations dont 35 sites Web pour le Rotary Club, des syndicats locaux et nationaux
– divers commerces et entreprises, petites et grandes, de la boutique locale à la grosse société d’autoroute

J’ai connu la naissance de Firefox, la fin de Netscape, les modems en 56k, la naissance de bootstrap, de JQuery, l’arrivée des colorateurs syntaxiques, la naissance de Google, de Chrome,  de Facebook, etc.

Création d’applications en ligne

Les clients envoyaient tous leurs besoins vers l’équipe de dév, j’ai donc créé des applications en ligne sur mesure et divers Intranets, comme par exemple une application pour gérer les votes d’un syndicat national, une application pour aider à la police à estimer les participants à une manifestation, divers e-commerce, et refait l’Intranet d’un URSSAF à partir de zéro.

J’ai aussi utilisé et programmé des interfaces avec de nombreuses API.

Exercice de plusieurs métiers

Dans ces premières années d’Internet, le domaine du digital n’était pas encore bien défini, et j’ai du endosser plusieurs casquettes et exercer les différents métiers de :

– analyste (modéliser la réalité en bases de données exploitables)
– développeur back-end (conception & programmation d’interfaces de gestion privées)
– développeur front (avec grosse spécialisation en intégration de maquettes pixel-perfect)
– formateur

En créant et gérant ma propre entreprise, j’ai du apprendre :
– la gestion d’entreprise
– la gestion de projets, de clients
– les aspects administratifs

Grâce à mes collaborations avec des agences de communication, j’ai découvert les domaines de :
– la publicité
– la communication
– le graphisme, le design

L’avènement de WordPress

Je travaillais avec le CMS SPIP, et j’entendais parler de plus en plus de WordPress. Comme toujours dans ces domaines, on trouvait des avis divergents :

– « WordPress est mieux que SPIP »
– « WordPress c’est pour les débutants qui ne savent pas coder, ce n’est pas sérieux »

Ma transition de SPIP à WordPress a été poussée par un enchaînement d’événements édifiant, dont les leçons feront l’objet de mes contenus sur la gestion de freelancing et d’agence digitale.

Premiers side-projects

Après ces années d’expérience dans le monde de la tech et du digital, j’ai commencé à créer mes propres projets, en plus des projets de mes clients.
Je ne travaillais plus que pour les projets des autres, mais aussi sur les miens. Parmi ces projets :
– une application de simulation de finance pour un projet spécifique
– vente de templates Web
– un jeu en ligne sur navigateur, à l’époque où il n’en existait que 2 ou 3 connus dans le monde
– import/export international de produits physiques
– plateformes multi-sites 

L’international et l’exponentiel

J’ai fait un grand bond en avant en partant à l’international. J’ai visité physiquement 22 pays et travaille aujourd’hui avec la Silicon Valley (Etats-Unis), la France, la Belgique, la Chine, Taiwan, Bangkok, l’Australie, etc. Je travaille tous les jours en anglais et en français, ce qui aide puisque les logiciels et Internet sont principalement en anglais.

Grâce à cet environnement international, j’ai pu voir quelles sont les problématiques communes dans différents pays autour des sujets de la tech, du digital et du Web.

J’ai aussi pu rencontrer des figures connues du Web.

Certification en gestion d’agence Web

En milieu de carrière, j’ai passé une certification professionnelle sur la gestion d’agence digitale, alors appelée « WP Elevation », maintenant nommée « Digital Mavericks ». Il s’agissait alors de la plus grande formation en gestion d’agence digitale au monde (2000€, en anglais), qui, comme son nom l’indique, permet aux consultants digitaux de s’élever et de développer une vision globale de leur activité.

L’objectif est de mieux comprendre les étapes et phénomènes qui ont lieu dans la création, la vente et la gestion d’un projet digital, de mieux communiquer avec ses clients, de devenir meilleur en gestion de projet, de rendre son business pérenne, de gérer les imprévus, etc.

L’apprentissage de WordPress

Après des débuts difficiles avec WordPress (en passant de SPIP à WP, j’ai littéralement raté mes premiers projets WP), j’ai du étudier et apprendre de fond en comble la bête et son écosystème. J’ai pu apprendre notamment que :

– Non, WordPress n’est pas pour les débutants. C’est un ensemble d’outils qui permet à une activité de se développer plus vite, et qui nécessite beaucoup de connaissances. J’ai des collègues qui travaillent sur des sites WordPress à 200 000€, et je vois passer dans mes groupes d’entrepreneurs des projets qui se chiffrent en millions de $ et regroupent des experts avancés de disciplines complexes.
– Il y a des ingénieurs WordPress : ce sont des ingénieurs, qui ont le titre d’ingénieur, spécialisés en ingénierie logicielle, spécialisés dans WordPress
– Une grosse partie des commerces en ligne, des plateformes de e-learning, et certaines applications, qui sont utilisées au quotidien et font progresser l’humanité, sont faits avec WordPress
– Un développeur qui a créé des CMS sur mesure comme moi aura plus de facilités à comprendre le fonctionnement de WordPress, même si beaucoup de ses fonctionnalités sont accessibles sans avoir de connaissances en programmation
– Comme tout logiciel, WordPress est plein de défauts. Ce qui est bien, c’est que l’équipe travaille constamment pour l’améliorer.
– Il y a tellement de thèmes et de plugins qu’il faut faire un choix et se spécialiser, on ne peut pas tous les apprendre

Je n’ai pas d’attaches particulières avec WordPress ni Divi : ils sont objectivement parmi les meilleurs outils actuels du Web, ils sont défendables, ils sont attaquables. J’ai du les apprendre de A à Z pour le travail, et voilà.

Si vous entendez des détracteurs de WordPress quelque part, souvenez-vous que quelqu’un qui rejette ou méprise complètement quelque chose sans nuance a souvent un problème personnel de manque de compréhension, puisque rien n’est noir ou blanc, tout est dégradé de gris.

Admin serveur

J’ai du malgré moi mettre les mains dans le métier d’administrateur serveur : gestion de serveur d’hébergement, configuration Apache, SSH, lignes de commandes, etc. J’ai maintenant des gens qui s’en occupent pour moi, mais je sais de quoi on parle un peu plus qu’en surface.

Divi

Pour avoir fait des intégrations Web et du CSS pendant des années, l’arrivée des constructeurs visuels est une bénédiction. Enfin, on peut se concentrer sur le design et le contenu, sans avoir l’esprit perdu dans des difficultés techniques de code CSS en même temps.

Pour éviter le carnage, il faut quand même comprendre comment fonctionne la mise en page d’un site Web avant d’utiliser Divi. Avoir longtemps été intégrateur Web donne un avantage certain dans l’utilisation et la compréhension d’un constructeur Web visuel.

Dans le mini-sondage ci-dessous, parmi 404 (coincidence) prestataires Web interrogés en octobre 2023, 48% font leur design directement dans leur builder Web (Divi, Elementor, Oxygen, Beaver Builder, etc.), contre seulement 24% dans le logiciel de design, et 28% selon les projets.

Cela montre à quel point les constructeurs visuels ont évolué, même s’ils ne sont pas comparables à des logiciels de design comme Figma (pour ma part, je fais certains designs directement avec Divi, et d’autres plus réfléchis en amont dans un logiciel de design).

design directement dans site Web

Est-ce que le dév me manque ?

Faire du dév, programmer, est passionnant. J’ai toujours des projets par-ci par-là avec du dév, mais je pense que le cerveau humain n’est pas fait pour faire du développement logiciel 8h/jour pendant toute sa vie, c’est difficile, ça rend fou, c’est épuisant, et personne ne comprend rien à ce qu’on fait. Il n’y a rien de pire pour un développeur que de travailler pour des gens qui n’y connaissent rien. Trois faits au hasard pour étayer cela : – J’avais vu passer des statistiques sur les développeurs qui expliquaient que c’était le métier qui connaissait le plus de reconversions au monde : vers 40 ans, les dévs arrêtaient le dév pour faire autre chose (inutile de sortir une anecdote sur l’ami d’un cousin qui continue le dév après 40 ans, ce sont des stats, des moyennes). Pour ma part, j’ai fait du dév à temps plein de mes 20 à 30 ans, puis moins de 30 à 35 ans, puis quasiment plus de 35 à 40 ans. Il faut passer la relève, j’ai des dévs qui travaillent pour moi sur certains projets, c’est l’ordre naturel des choses, je m’occupe plus d’organisation, de conseil et de formation, que de production. – J’ai eu une discussion avec une agence de communication et Web récemment : ils n’arrivent pas à embaucher. Ils ne trouvent pas de dév qui veuille travailler sur des sites Web et WordPress, les dévs veulent travailler dans des boites de tech, avec un environnement fait pour le dév. Je sais que beaucoup de gens cherchent du travail – c’est ce qui m’étonne : du côté pile de la pièce, il manque 300 000 développeurs rien qu’en France, ça serait le métier le plus recherché, etc., et du côté face de la pièce, on voit partout des professionnels qui ne trouvent pas de travail – je n’ai pas de théorie assez solide pour essayer d’expliquer cette contradiction. – La technologie évolue tellement vite, qu’on ne peut pas suivre. Il faut des années pour maîtriser correctement une technologie ou un langage de programmation : le temps qu’on y arrive, on a même pas le temps d’accumuler quelques années d’expérience avec, qu’il y a déjà une nouvelle technologie pour remplacer la précédente. Exemples : un jour, je me suis réveillé dans un monde où tout le monde utilisait WordPress, personne ne voulait entendre parler de SPIP, alors que j’étais spécialisé dans SPIP … un autre jour, je me suis réveillé dans un monde où PHP n’était plus du tout le leader du Web, mais un vieux truc méprisé et remplacé, alors que j’avais fait du PHP toute ma vie … et encore un autre jour, je me suis réveillé dans un monde où les compétences techniques du Web n’avaient plus aucune valeur, seuls le marketing, le SEO et le CRO existaient. En gros, je peux faire 100 lignes de code s’il faut, mais s’il y a besoin de passer des semaines ou des mois à développer une application à partir de zéro, je vous redigerais vers une boite de dév spécialisée avec laquelle je travaille.

SEO

Le SEO (« référencement ») est apparemment un métier dans lequel il n’y a pas de technicien, seulement des consultants. Peut-être parce que les métiers du SEO sont des métiers casse-têtes, des puzzles infinis sans réponse qui ont déjà évolué avant qu’on en aperçoive les premières pièces. J’ai travaillé en partenariat avec des consultants SEO, et j’ai appris beaucoup sur le SEO, mais pas assez pour être moi-même un consultant SEO : je n’y ai passé que quelques centaines d’heures, ce qui n’est qu’une goutte d’eau dans la somme des connaissances nécessaires pour être bon dans un métier du digital.

CRO

CRO, c’est Conversion Rate Optimization, l’optimisation du taux de conversion, la discipline la plus complexe des apps et des sites Web, et celle qui apporte le plus de valeur à une entreprise ou une activité. Dans le CRO, on apprend de la neuro-psychologie, de la science, du design, de l’UI, de l’UX, de la rédaction, de la technique … De cette discipline peu connue dont les prestations démarrent à 10 000€/mois, j’ai eu la chance de travailler avec le co-fondateur de la première académie de CRO de France, Achille Vaulot. J’ai beaucoup appris et j’applique maintenant ces notions dans tous mes projets.

UI et design

Après avoir réalisé l’intégration Web de centaines de maquettes Photoshop/Adobe XD pour les graphistes d’agences de communication, j’ai pu accumuler une certaine expérience et un certain oeil en design. Je peux maintenant créer moi-même les designs des projets simples, et j’aime m’entraîner au design d’interfaces : c’est une logique reposante comparée au dév, mais quand même avancée, et super intéressante car plus visible. On parle aujourd’hui d’interface utilisateur (User Interface), et non plus de design ou de graphisme. Il s’agit de concevoir des interfaces, pas de dessiner des trucs jolis (c’est le métier d’illustrateur). Je m’amuse à améliorer des sites moches : https://www.netologiste.com/coaching-wordpress/amelioration-design-site-divi/

Gestion de projet

J’ai du créer plusieurs entreprises pour pouvoir exercer mon activité, et ai du apprendre à gérer les projets clients en tant qu’entreprise prestataire. Après avoir vu comment ça se passe, pour moi, pour mes collègues, puis pour des entreprises dans d’autres pays, il y a une constante : on peut affirmer que le digital est une des pires disciplines au monde pour la gestion de projet. Le fossé de connaissances entre les prestataires et les clients est trop grand, ce qui amène à des problèmes de communication insolubles. J’ai longuement étudié ce sujet, et je coache maintenant des freelances et des agences Web pour amélioreur leur gestion de projet.

Ressources humaines – Recrutement

J’ai été amené à former des ingénieurs logiciels.

Business management

En plus de la certification internationale en gestion d’agence digitale citée plus haut, j’ai suivi un coaching en business management pendant plusieurs mois avec un gars extra. Il m’a permis de voir ce qui n’allait pas dans ma vie professionnelle et dans la gestion de mon entreprise, et de réorienter mes activités. Contrairement à la tendance actuelle qui vise à gagner 10 000€ par seconde, j’ai développé ma propre spécialité qui concerne les petites agences et les freelances, dont l’objectif est de réduire le stress, réduire le travail inutile, améliorer sa communication, et améliorer son quotidien en tant que professionnel du digital. Ça sera une meilleure base pour ensuite viser l’augmentation du CA. Je partage avec plaisir ces méthodes et conseils contre monnaie sonnante et trébuchante, si vous êtes une petite structure et êtes intéressés, c’est ici : https://calendly.com/neosama/coaching-web Si en revanche vous avez 5 000 employés et brassez 20 000 000€/mois, je ne serais pas la bonne personne pour vous aider en business management pour le moment (mais je pourrais vous aider à améliorer votre site Web).

Neosama

Neosama est le nom de mon entreprise. « Neo » est un préfixe qui vient du grec ancien et qui signifie « nouveau ». Il sert à former des mots qui expriment la nouveauté, la modernité ou la rénovation (merci ChatGPT). « Sama » est un suffixe honorofique japonais qui reflète un niveau de politesse ou d’admiration. La référence au grec ancien apporte un niveau de sérieux : on est pas là pour niaiser. La référence au japonais est un clin d’oeil à une civilisation avancée. Les deux ensemble forment vaguement l’idée d’une nouvelle vision de quelque chose de grand, de respectable et respecteux.

Neosama Consulting

Neosama Consulting https://www.neosama-consulting.com/ est le nom de mon agence digitale à travers laquelle j’ai réalisé les projets de mes entreprises clientes ces dernières années. Actuellement, je ne propose plus de « création de site Internet », sauf à l’heure https://calendly.com/neosama/coaching-web (ce qui donnera de bien meilleurs résultats qu’avec un devis, mais je n’essaierai pas de vous en convaincre). Aujourd’hui, je fais du conseil, de la formation, du coaching, et travaille principalement sur mes propres projets. Si toutefois vous cherchez une agence digitale qui vous fera un devis pour la création de votre site Web, j’ai un super collègue avec qui je peux vous mettre en contact.

Les formations Netologiste

J’ai effectué des formations Web auprès de dizaines de professionnels de tous secteurs tout au long de ma carrière. J’aime expliquer les choses en détails et aider les gens à avancer, tant dans leur compréhension que dans leur pratique. J’ai accumulé beaucoup (trop) de connaissances du Web, et je veux les transmettre avant qu’elles ne disparaissent (et les rentabiliser par la même occasion, comme ça tout le monde est content). En me confrontant à des tas de collègues qui travaillent dans le Web, j’ai pu observer que j’avais des méthodes uniques d’approches, d’explications et de compréhension, qui peuvent être bénéfiques à être partagées.

Le coaching WordPress

Suivre une formation en ligne pour des métiers qui prennent des années à apprendre, ce n’est pas suffisant. On a besoin de pratique, et d’une personne expérimentée à qui poser des questions, pour nous montrer des choses, nous guider. C’est ce que je propose avec le coaching WordPress. La prestation s’appelle « Coaching WordPress », mais elle n’est pas limitée à WordPress : nous pouvons aborder tout ce sur quoi je peux vous aider, en relation avec les projets Web, la gestion de projets en agence Web ou votre carrière de freelance. C’est une prestation disponible temporairement, à travers laquelle je vous partage tout, à votre niveau, à votre rythme. Temporairement, car elle est proposée à bas prix pour rendre service, je l’enlèverais dès que j’en aurais marre. Malgré la satisfaction de rendre service, prendre de tels appels est fatiguant et difficile au niveau logistique. Si comme mes clients existants, vous vous rendez compte que c’est une super opportunité, utilisez la, c’est génial pour vous. Si ça ne vous intéresse pas, ne cliquez juste pas dessus. Je paye moi-même des coachs et accompagnants lorsque j’en ai besoin, en design, en SEO, en business management, etc. Parfois j’ai besoin d’avoir une personne à qui poser des questions et avec qui faire des manips en direct, plutôt que de lire un article ou regarder une vidéo.

Silicon Valley

Je travaille principalement sur mes propres projets depuis que j’ai arrêté les prestations de création de sites Web. Je ne mentionne ici que de ce qui concerne le sujet du site netologiste et les formations Web : netologiste est un de mes projets en cours. L’un de mes autres projets est un partenariat avec une entreprise de la Silicon Valley (le centre mondial de la tech, aux USA). Il s’agit de la création d’une application mobile complexe avec un logiciel et beaucoup de code. Mon profil a été selectionnée avec 25 autres personnes du monde entier, les 24 autres ont tous abandonné, je suis le dernier à travailler avec d’anciens ingénieurs de boites connues comme Google. J’y travaille depuis plus de 3 ans, j’ai embauché à tour de rôle 20 personnes pour m’aider sur ce projet, et il continue d’avancer. Toutefois, pour être transparent, c’est un projet difficile, d’un niveau très élevé, on est à plus de 10 000 heures de travail, et même si je pourrais simplement le mentionner pour faire rêver et me la péter sans parler des difficultés, en réalité je ne suis pas encore le boss de la Silicon Valley. Juste occupé à apprendre, décider et produire dans ce milieu.

Autres projets

Aujourd’hui, je me concentre sur mes propres projets et sur l’activité de consultant et formateur Web. Inutile de mentionner ici mes autres projets en cours qui ne sont pas relatifs à ce site.

IA

Les intelligences articificielles sont arrivées, et en 2 mots : elle ne sont pas prêtes de me remplacer. J’aimerais bien, ça me ferait des vacances, mais ce n’est pas pour tout de suite. Pour le moment, les IA me font gagner du temps, mais ne m’aident pas encore à faire plus que ce que j’aurais fait sans elles. Il y a de l’IA dans Windows, il y a de l’IA dans Photoshop, il y a de l’IA dans Divi. Apprenez à utiliser les IA et elles ne vous remplaceront pas, elles vous prolongeront. J’ai été un des premiers utilisateurs au monde dans le classement à produire plus de 50 000 images avec MidJourney, et j’utilise ChatGPT et Bard régulièrement, mais je n’ai rien de spécial à vous proposer avec l’IA pour le moment, à part une introduction utile et pratique à ChatGPT si vous ne l’utilisez pas encore.

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Témoignages

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